De la mise en service des équipements à l'optimisation des procédés, de la formation opérationnelle à la réponse aux problèmes, chaque étape cache l'adaptation et la résonance entre le « Made in China » et les usines multinationales
En tant que fournisseur bien connu de raccords pour tubes fluides dans la région, Maruichi Japan impose des exigences extrêmement strictes quant à la précision du cintrage des tubes : pour les tubes en acier inoxydable de 20 mm de diamètre, l'erreur d'angle de cintrage doit être maintenue dans une fourchette de ±0,5°, la transition de l'angle R doit être lisse et sans plis, et elle doit rester compatible avec le montage ultérieur aux accessoires japonais locaux. Toutefois, la température dans l'atelier indonésien reste constamment supérieure à 30 °C tout au long de l'année, avec un taux d'humidité élevé, ce qui représente un défi important pour la stabilité du moteur servo et les performances d'étanchéité du système hydraulique de la cintreuse.
Le cœur de la coopération transfrontalière ne réside jamais simplement dans l'acte d'« acheter et vendre », mais plutôt dans la manière précise dont une machine façonne un tube, où les besoins et ressources des deux parties s'emboîtent parfaitement et évoluent ensemble.